Evolution Tour : J-20

Après un bon week-end de varappe, mardi 23 décembre fut une journée riche. Lever à 6h30 du matin, je descends avec Lafouche aux locaux Petzl pour croiter une étape décisive. Le stress n'a pu s'installer puisque je fus cueilli dès les premières heures par le responsable de la flotte automobile de la société. Mais pourquoi faire ? Par modestie, je présenterais les actes par une photo illustrant à elle seule le résultat.

L'aventure Evolution Tour prend naissance concrètement le 13 décembre quand les grafistes de MAterson décoraient les camion pendant que je ridais mes premières courbes de snow et fêtais la retraite de Jérôme Meyer.Pour finir, je remercie Erwan Lellan pour toute son aide afin que Petzl puisse m'aider au mieux. Et même avec un cheville en vrac !
Je remercie tous les salariés de l'entreprise qui m'ont accueilli chaque fois que je passais dans le coin : Pascal, Chantal, Nathalie, Valérie, Hervé, Boris, Loic, Stephanie, Marianne, etc...
Je remercie les grafeurs Masterson qui se sont gelés dehors pendant que je faisais mumuse.

Je remercie Lafouche, Clothilde, Guillaume Broust, Perrine et Adrien pour ne pas me laisser dormir dans le froid.

A gauche, Paul PETZL , venu admirer le bolide.

Je remercie tous les potes, les grimpeurs venus tâter le grès de la Capelle. Je remercie le vent de la collante, les rondeurs de Bleau, celle du Québec, de Zillertal, des damoiselles sur la piste de dance. Je remercie les rires enfantins, les regards discrets, les princesses, la musique de mon poste, les chaussettes propres, le bouchon dentifrice fermé, les coupe-ongles coupants (ben oui ! ) . Je remercie également les rigolos avec le gilet jaune sur le siège passager, les ragasseurs de place en file d'attente, les lycéens qui squattent la cave à poubelles de mon immeuble (z'y va),

Spéciale dédicace ultime, mythique voir extra-méga-odinaire.
Merci au taxi de m'avoir attendu alors que je lui disais que j'allais acheter du pain. Je sors du taxi...tatataaannn le taxi part.
§§*²/§ biiiiip. Le mec est parti en me laissant sur le trottoir. Je crois qu'il a du se sentir mal. Ce n'est pas ma faute si je pues des pieds. C'est comme une maladie, quoi !!!

@ +
Philippe RIBIERE